TABUThe hell of it !© ADASTRATout d'abord ~¥ Pseudo / Surnom / Prénom : Tabu / Joséphine (Jo')¥ Âge : 15 ¥ Localisation : Angers, Maine et Loire, FRANCE¥ Groupe désiré : Plume passionnéeTes Écrits ~L'entête d'un contexte destiné à un RPG sur la musique dans les 60'sSpoiler:Relèves la tête, regardes moi. On t’a jamais dit que t’étais jolie ? Avec tes bijoux en plastique et tes lunettes bleues, t’as le style chérie. On t’a entendu avec les autres, hier soir au Whiskey Tremp. T’as vraiment une chouette voix, tu vaux mieux que ce club pourri crois moi. Approches toi. Je peux t’emmener loin, tu sais, je suis dans le métier depuis un bout de temps. Tu es encore lycéenne, n’est ce pas ? Tu vis chez tes parents ? T’es en vacance ici ? T’as quel âge, quinze, seize ans ? Approches toi j’te dis. Ça alors, t’es vraiment trop mignonne. Franchement, à quoi ça va te servir d’avoir un diplôme ? Tu veux devenir médecin ou avocat ? Avec le talent que t’as ? Laisses tomber, brûle ton uniforme dès que tu rentre. Veux-tu un café ? Je te mets un peu de poudre magique avec, ça sucre. Assieds-toi près de moi. Quoi ? T’en a jamais pris ? Bois alors, ça va te détendre un peu. Et dis m’en un peu plus. Les quatre tocards de gratteurs qui t’accompagnaient sur scène, ce sont tes potes ? Ils t’attendent en bas ? Tu sens comme elle fait du bien, la poudre magique de l’oncle Alex ? Ils risquent de t’attendre un bout de temps. Allonges toi, dis moi ce que tu vois. -Chris ! Vire-moi ces quatre puceaux du parking !- T’inquiète pas, chérie, t’inquiète pas, laisses toi planer. Faudrait pas qu’ils viennent nous emmerder. C’est au nirvana que je t’envoie. Tu vois des papillons ? Des chauves-souris ? Continues de les regarder et laisses toi faire. Y fait chaud. Enlève-moi ça. C’est que ma main, panique pas. On va juste se connaître un peu mieux toi et moi. Extrait d'une biographie (faite à l'arrache, j'en conviens, comme toutes mes fiches de présentation d'ailleurs). Spoiler:La famille des Grimwald avait arraché sa fortune et sa situation à la sueur de son front, puis à celle de ses employés. Loin de la noblesse frivole, c’est dans la bourgeoisie marchande et ambitieuse que Phinéas a grandit. Présageant que son fils serait amené un jour à reprendre l’entreprise familiale, son père convoqua pour son éducation des précepteurs réputés ayant pour missions d’affiner ses goûts et sa culture. Aussi loin que l’on puisse s'en souvenir, Phinéas était un enfant paresseux mais fin d’esprit. Très vite il comprit la limite de sa richesse et brûla de s’envoler vers d’autres sommets. Le travail ne l’intéressait pas, il n’aspirait qu’à être respecté et ne se passionnait ni pour l’arithmétique ou la littérature mais pour les beaux costumes et les soirées mondaines. A l’adolescence, cela peut paraître normal. Son père se réjouissait même de l’appétit sexuel du très jeune homme. Phinéas, amateur de belles choses, n’aimaient rien tant que d’écouter les conversations de jeunes femmes issues de la noblesse. Malgré son physique plutôt ingrat, il se savait capable de les séduire facilement. Encore jeune et plein d’esprit, le seul hic à ses conquêtes était son statut social. On n’invite pas décemment à un salon le rejeton de la classe moyenne, aussi aimable fut-il. Cependant, il aimait bien trop le velours, le bon champagne, l’or et le raffinement pour se réduire à la compagnie d’une fille du même cru que lui. Pour émoustiller les éventails en dentelle et les corsets brodés, il se fit musicien. Déjà emprunt de solfège depuis ses cinq ans, les femmes d’esprits ne se réunissaient plus sans lui mettre à disposition un piano. Bourgeois ou pas, les touches blanches et noires font leurs effets partout. Petit Plus ~¥ Code du règlement : Spoiler:Believe in you¥ Pourquoi t'es-tu inscrit(e) : Devenue, par la force des choses, une monomaniaque du Rp, je cherchais un endroit où faire part d'écrits plus personnels. Ayant aussi beaucoup de mal à me motiver, j'espère que m'offrir le luxe d'un peu de public me remettra dans le coup. ¥ Que penses-tu du forum : Très joli, très clair, pas prétentieux et très bien organisé. ¥ Que penses-tu de l'écriture : Elle m'assome mais je suis un peu masochiste. ¥ Ton auteur préféré : Ce sont plutôt les jaquettes et les résumés qui orientent mes choix, même si je reconnais une grande affection pour l'oeuvre de Sallinger, des classiques d'Edgar Poe et les textes du compositeur/parolier Paul Williams. ¥ Le dernier livre que tu as lu : Mille femmes blanches (Jim Fergus)¥ Un mot pour la fin ? Caméscope.
Tout d'abord ~¥ Pseudo / Surnom / Prénom : Tabu / Joséphine (Jo')¥ Âge : 15 ¥ Localisation : Angers, Maine et Loire, FRANCE¥ Groupe désiré : Plume passionnéeTes Écrits ~L'entête d'un contexte destiné à un RPG sur la musique dans les 60'sSpoiler:Relèves la tête, regardes moi. On t’a jamais dit que t’étais jolie ? Avec tes bijoux en plastique et tes lunettes bleues, t’as le style chérie. On t’a entendu avec les autres, hier soir au Whiskey Tremp. T’as vraiment une chouette voix, tu vaux mieux que ce club pourri crois moi. Approches toi. Je peux t’emmener loin, tu sais, je suis dans le métier depuis un bout de temps. Tu es encore lycéenne, n’est ce pas ? Tu vis chez tes parents ? T’es en vacance ici ? T’as quel âge, quinze, seize ans ? Approches toi j’te dis. Ça alors, t’es vraiment trop mignonne. Franchement, à quoi ça va te servir d’avoir un diplôme ? Tu veux devenir médecin ou avocat ? Avec le talent que t’as ? Laisses tomber, brûle ton uniforme dès que tu rentre. Veux-tu un café ? Je te mets un peu de poudre magique avec, ça sucre. Assieds-toi près de moi. Quoi ? T’en a jamais pris ? Bois alors, ça va te détendre un peu. Et dis m’en un peu plus. Les quatre tocards de gratteurs qui t’accompagnaient sur scène, ce sont tes potes ? Ils t’attendent en bas ? Tu sens comme elle fait du bien, la poudre magique de l’oncle Alex ? Ils risquent de t’attendre un bout de temps. Allonges toi, dis moi ce que tu vois. -Chris ! Vire-moi ces quatre puceaux du parking !- T’inquiète pas, chérie, t’inquiète pas, laisses toi planer. Faudrait pas qu’ils viennent nous emmerder. C’est au nirvana que je t’envoie. Tu vois des papillons ? Des chauves-souris ? Continues de les regarder et laisses toi faire. Y fait chaud. Enlève-moi ça. C’est que ma main, panique pas. On va juste se connaître un peu mieux toi et moi. Extrait d'une biographie (faite à l'arrache, j'en conviens, comme toutes mes fiches de présentation d'ailleurs). Spoiler:La famille des Grimwald avait arraché sa fortune et sa situation à la sueur de son front, puis à celle de ses employés. Loin de la noblesse frivole, c’est dans la bourgeoisie marchande et ambitieuse que Phinéas a grandit. Présageant que son fils serait amené un jour à reprendre l’entreprise familiale, son père convoqua pour son éducation des précepteurs réputés ayant pour missions d’affiner ses goûts et sa culture. Aussi loin que l’on puisse s'en souvenir, Phinéas était un enfant paresseux mais fin d’esprit. Très vite il comprit la limite de sa richesse et brûla de s’envoler vers d’autres sommets. Le travail ne l’intéressait pas, il n’aspirait qu’à être respecté et ne se passionnait ni pour l’arithmétique ou la littérature mais pour les beaux costumes et les soirées mondaines. A l’adolescence, cela peut paraître normal. Son père se réjouissait même de l’appétit sexuel du très jeune homme. Phinéas, amateur de belles choses, n’aimaient rien tant que d’écouter les conversations de jeunes femmes issues de la noblesse. Malgré son physique plutôt ingrat, il se savait capable de les séduire facilement. Encore jeune et plein d’esprit, le seul hic à ses conquêtes était son statut social. On n’invite pas décemment à un salon le rejeton de la classe moyenne, aussi aimable fut-il. Cependant, il aimait bien trop le velours, le bon champagne, l’or et le raffinement pour se réduire à la compagnie d’une fille du même cru que lui. Pour émoustiller les éventails en dentelle et les corsets brodés, il se fit musicien. Déjà emprunt de solfège depuis ses cinq ans, les femmes d’esprits ne se réunissaient plus sans lui mettre à disposition un piano. Bourgeois ou pas, les touches blanches et noires font leurs effets partout. Petit Plus ~¥ Code du règlement : Spoiler:Believe in you¥ Pourquoi t'es-tu inscrit(e) : Devenue, par la force des choses, une monomaniaque du Rp, je cherchais un endroit où faire part d'écrits plus personnels. Ayant aussi beaucoup de mal à me motiver, j'espère que m'offrir le luxe d'un peu de public me remettra dans le coup. ¥ Que penses-tu du forum : Très joli, très clair, pas prétentieux et très bien organisé. ¥ Que penses-tu de l'écriture : Elle m'assome mais je suis un peu masochiste. ¥ Ton auteur préféré : Ce sont plutôt les jaquettes et les résumés qui orientent mes choix, même si je reconnais une grande affection pour l'oeuvre de Sallinger, des classiques d'Edgar Poe et les textes du compositeur/parolier Paul Williams. ¥ Le dernier livre que tu as lu : Mille femmes blanches (Jim Fergus)¥ Un mot pour la fin ? Caméscope.
L'entête d'un contexte destiné à un RPG sur la musique dans les 60'sSpoiler:Relèves la tête, regardes moi. On t’a jamais dit que t’étais jolie ? Avec tes bijoux en plastique et tes lunettes bleues, t’as le style chérie. On t’a entendu avec les autres, hier soir au Whiskey Tremp. T’as vraiment une chouette voix, tu vaux mieux que ce club pourri crois moi. Approches toi. Je peux t’emmener loin, tu sais, je suis dans le métier depuis un bout de temps. Tu es encore lycéenne, n’est ce pas ? Tu vis chez tes parents ? T’es en vacance ici ? T’as quel âge, quinze, seize ans ? Approches toi j’te dis. Ça alors, t’es vraiment trop mignonne. Franchement, à quoi ça va te servir d’avoir un diplôme ? Tu veux devenir médecin ou avocat ? Avec le talent que t’as ? Laisses tomber, brûle ton uniforme dès que tu rentre. Veux-tu un café ? Je te mets un peu de poudre magique avec, ça sucre. Assieds-toi près de moi. Quoi ? T’en a jamais pris ? Bois alors, ça va te détendre un peu. Et dis m’en un peu plus. Les quatre tocards de gratteurs qui t’accompagnaient sur scène, ce sont tes potes ? Ils t’attendent en bas ? Tu sens comme elle fait du bien, la poudre magique de l’oncle Alex ? Ils risquent de t’attendre un bout de temps. Allonges toi, dis moi ce que tu vois. -Chris ! Vire-moi ces quatre puceaux du parking !- T’inquiète pas, chérie, t’inquiète pas, laisses toi planer. Faudrait pas qu’ils viennent nous emmerder. C’est au nirvana que je t’envoie. Tu vois des papillons ? Des chauves-souris ? Continues de les regarder et laisses toi faire. Y fait chaud. Enlève-moi ça. C’est que ma main, panique pas. On va juste se connaître un peu mieux toi et moi. Extrait d'une biographie (faite à l'arrache, j'en conviens, comme toutes mes fiches de présentation d'ailleurs). Spoiler:La famille des Grimwald avait arraché sa fortune et sa situation à la sueur de son front, puis à celle de ses employés. Loin de la noblesse frivole, c’est dans la bourgeoisie marchande et ambitieuse que Phinéas a grandit. Présageant que son fils serait amené un jour à reprendre l’entreprise familiale, son père convoqua pour son éducation des précepteurs réputés ayant pour missions d’affiner ses goûts et sa culture. Aussi loin que l’on puisse s'en souvenir, Phinéas était un enfant paresseux mais fin d’esprit. Très vite il comprit la limite de sa richesse et brûla de s’envoler vers d’autres sommets. Le travail ne l’intéressait pas, il n’aspirait qu’à être respecté et ne se passionnait ni pour l’arithmétique ou la littérature mais pour les beaux costumes et les soirées mondaines. A l’adolescence, cela peut paraître normal. Son père se réjouissait même de l’appétit sexuel du très jeune homme. Phinéas, amateur de belles choses, n’aimaient rien tant que d’écouter les conversations de jeunes femmes issues de la noblesse. Malgré son physique plutôt ingrat, il se savait capable de les séduire facilement. Encore jeune et plein d’esprit, le seul hic à ses conquêtes était son statut social. On n’invite pas décemment à un salon le rejeton de la classe moyenne, aussi aimable fut-il. Cependant, il aimait bien trop le velours, le bon champagne, l’or et le raffinement pour se réduire à la compagnie d’une fille du même cru que lui. Pour émoustiller les éventails en dentelle et les corsets brodés, il se fit musicien. Déjà emprunt de solfège depuis ses cinq ans, les femmes d’esprits ne se réunissaient plus sans lui mettre à disposition un piano. Bourgeois ou pas, les touches blanches et noires font leurs effets partout.