Binii.« What is this 'normal' you speak of ? Is it contagious ? »© tumblr.Tout d'abord ~¥ Pseudo / Surnom / Prénom : Je m’appelle Bineta - oui, c'est original et d'origine sénégalaise pour ceux que ca intéresse - mais je préfère qu'on m'appelle Binii.¥ Âge : Dix-sept ans.¥ Localisation : Paris, France.¥ Groupe désiré : Plume passionnée.Tes Écrits ~C'est l'une de mes présentations sur un forum RPG, j'espère que ca conviendra. J'ai pas vraiment d'écrits que je conserve sur mon ordinateur parce que je finis toujours par les supprimer. Spoiler:« Tu sais que parfois, j'oublie des choses à ton sujet ? Comme ton parfum ou bien même le son de ta voix ? Ça me rend folle, je ne supporte pas l'idée que tu ne sois plus à mes côtés. Je refuses de te laisser partir ... »D'un geste doux, il pose alors un doigt sur mes lèvres pour me faire taire. Il passe l'une de ses mains dans mes cheveux tout doucement et m'embrasse le front toujours aussi délicatement. Un fin sourire se dessine sur mes lèvres. C'est fou comme tout est beaucoup plus simple à ses côtés, comme il me fait oublier si facilement le moindre de mes soucis. Je ne peux pas vivre sans lui, c'est une évidence. La vie sans lui près de moi n'a plus aucun sens. Il ne peut pas partir, il est tellement jeune et plein de vie. Et puis, dans moins d'une semaine, on va se marier. Et on vivra ensembles, très heureux et pour le restant de nos jours. Je me sens si bien avec lui. Son heure n'est pas encore venue.Pourtant, je sais pertinemment que ce n'est pas comme cela que les choses vont se dérouler. Je sais qu'on ne vivra pas heureux pour toujours et qu'on ne se mariera jamais. Une vague de tristesse m'envahit à cette idée, je refuse de l'accepter. Nous sommes faits l'un pour l'autre. C'est injuste ! Pourquoi faut-il qu'il se fasse faucher par une voiture qui roule bien au-delà de la vitesse autorisée ? Pourquoi faut-il qu'il perde la vie sur le chemin de l'hôpital ?"Toutes mes condoléances ma chère Willow, je suis vraiment désolée. Perdre la vie si jeune ... c'est d'un tragique !" Je refuses d'entendre ces mots alors qu'ils sont en train de le placer six pieds sous terre, dans sa nouvelle demeure. Je refuse de pleurer toutes les larmes de mon corps jusqu'à l'épuisement, de finir avec les yeux rougis et un fichu mal de crâne. Je refuse d'avoir à traverser cette épreuve, c'est trop dur. Et pourtant, je sais déjà que je ne pourrais pas y échapper et que bientôt, je devrais retourner à la réalité. Une réalité où il n'existe plus, où il n'y a plus personne pour me rassurer lors des mes terreurs nocturnes.Je secoue vivement la tête en signe de refus, il continue d'afficher un sourire paisible sur son visage. Lui aussi, il sait ce qu'il va arriver et pourtant il reste parfaitement serein. Comme si il s'était fait à cette idée, comme si il l'avait acceptée. Je profite des derniers instants que je passe à ses côtés. Je le prends dans mes bras, je l'embrasse et finalement, le laisse s'en aller. Très vite, je sens que la réalité ne va pas tarder à me rattraper. Je sens qu'on est sur le point de m'arracher à mon petit coin de paradis personnel, contre mon gré. Je ferme les yeux, contrainte de l'abandonner une nouvelle fois. Et dans un violent sursaut, je retourne à la réalité.Des gouttes de sueur perlaient sur mon front, mon cœur battait à une vitesse incontrôlable et une sensation de panique m'envahit toute entière. J'arrivais à peine à respirer mais faisait mon possible pour me calmer et reprendre une respiration normale. Je me saisis du verre d'eau posé sur ma table basse et avalait le liquide à une vitesse ahurissante. Après quelques minutes, je passais la main dans mes cheveux et prenait une grande inspiration. Je retrouvais enfin mes esprits. Ce n'était qu'un rêve, pas la réalité. Cette constatation me soulageait mais me donnait aussi froid dans le dos. Je n'en pouvais plus de ces cauchemars qui m'empêchaient de trouver un sommeil paisible, de ces hallucinations qui semblait pourtant si réelles mais me donnaient l'impression de perdre la raison. Il m'arrivait même parfois d'avoir des hallucinations de ce genre alors que j'étais parfaitement éveillée. Si cela continuait, mon entourage ne tarderait pas à me prendre pour une folle et voudrait m'enfermer à l'asile psychiatrique le plus proche. Je ne pourrais pas leur en vouloir, moi-même je doutais de ma santé mentale en ce moment.Ces hallucinations avaient commencées il y a plus de deux mois à présent. Depuis son décès, depuis qu'il était sorti de ma vie. Et elles n'avaient jamais cessées depuis. En surface, tout allait bien pour moi. Je venais de trouver un nouveau travail, en tant que professeur au sein d'une université, j'avais emménager depuis peu dans un nouvel appartement spacieux ... La vie continuait et marchait plutôt bien pour moi. Cependant, malgré tous mes efforts, il était évident que je ne parvenais pas à faire mon deuil. Y parviendrais-je un jour ? Je n'en avais aucune idée. Petit Plus ~¥ Code du règlement : Spoiler:Code validé¥ Pourquoi tu t'es inscrite ? : J'ai toujours voulu être sur un forum d'écriture sans vraiment en chercher un mais quand j'ai vu la demande sur Bazzart, j'ai sauté sur l'occasion en me disant que ca pourrait être cool de faire partie d'une communauté avec la même passion que moi. Et puis aussi, j'espérais m'améliorer un peu en écriture. ¥ Que penses-tu du forum ? : Qu'il est vraiment beau et bien organisé et que je sens que je vais m'y plaire. Je trouve juste qu'il manque un peu de smileys mais c'est pas bien grave. ¥ Que penses-tu de l'écriture ? : Comme tout le monde ici j'imagine, j'adore l'écriture. C'est un moyen de s'évader, de se détendre.¥ Un mot pour la fin : Vous trouvez pas qu'elle est juste magnifique Kate Walsh ? En plus, elle est rousse donc elle déchire forcément.
Tout d'abord ~¥ Pseudo / Surnom / Prénom : Je m’appelle Bineta - oui, c'est original et d'origine sénégalaise pour ceux que ca intéresse - mais je préfère qu'on m'appelle Binii.¥ Âge : Dix-sept ans.¥ Localisation : Paris, France.¥ Groupe désiré : Plume passionnée.Tes Écrits ~C'est l'une de mes présentations sur un forum RPG, j'espère que ca conviendra. J'ai pas vraiment d'écrits que je conserve sur mon ordinateur parce que je finis toujours par les supprimer. Spoiler:« Tu sais que parfois, j'oublie des choses à ton sujet ? Comme ton parfum ou bien même le son de ta voix ? Ça me rend folle, je ne supporte pas l'idée que tu ne sois plus à mes côtés. Je refuses de te laisser partir ... »D'un geste doux, il pose alors un doigt sur mes lèvres pour me faire taire. Il passe l'une de ses mains dans mes cheveux tout doucement et m'embrasse le front toujours aussi délicatement. Un fin sourire se dessine sur mes lèvres. C'est fou comme tout est beaucoup plus simple à ses côtés, comme il me fait oublier si facilement le moindre de mes soucis. Je ne peux pas vivre sans lui, c'est une évidence. La vie sans lui près de moi n'a plus aucun sens. Il ne peut pas partir, il est tellement jeune et plein de vie. Et puis, dans moins d'une semaine, on va se marier. Et on vivra ensembles, très heureux et pour le restant de nos jours. Je me sens si bien avec lui. Son heure n'est pas encore venue.Pourtant, je sais pertinemment que ce n'est pas comme cela que les choses vont se dérouler. Je sais qu'on ne vivra pas heureux pour toujours et qu'on ne se mariera jamais. Une vague de tristesse m'envahit à cette idée, je refuse de l'accepter. Nous sommes faits l'un pour l'autre. C'est injuste ! Pourquoi faut-il qu'il se fasse faucher par une voiture qui roule bien au-delà de la vitesse autorisée ? Pourquoi faut-il qu'il perde la vie sur le chemin de l'hôpital ?"Toutes mes condoléances ma chère Willow, je suis vraiment désolée. Perdre la vie si jeune ... c'est d'un tragique !" Je refuses d'entendre ces mots alors qu'ils sont en train de le placer six pieds sous terre, dans sa nouvelle demeure. Je refuse de pleurer toutes les larmes de mon corps jusqu'à l'épuisement, de finir avec les yeux rougis et un fichu mal de crâne. Je refuse d'avoir à traverser cette épreuve, c'est trop dur. Et pourtant, je sais déjà que je ne pourrais pas y échapper et que bientôt, je devrais retourner à la réalité. Une réalité où il n'existe plus, où il n'y a plus personne pour me rassurer lors des mes terreurs nocturnes.Je secoue vivement la tête en signe de refus, il continue d'afficher un sourire paisible sur son visage. Lui aussi, il sait ce qu'il va arriver et pourtant il reste parfaitement serein. Comme si il s'était fait à cette idée, comme si il l'avait acceptée. Je profite des derniers instants que je passe à ses côtés. Je le prends dans mes bras, je l'embrasse et finalement, le laisse s'en aller. Très vite, je sens que la réalité ne va pas tarder à me rattraper. Je sens qu'on est sur le point de m'arracher à mon petit coin de paradis personnel, contre mon gré. Je ferme les yeux, contrainte de l'abandonner une nouvelle fois. Et dans un violent sursaut, je retourne à la réalité.Des gouttes de sueur perlaient sur mon front, mon cœur battait à une vitesse incontrôlable et une sensation de panique m'envahit toute entière. J'arrivais à peine à respirer mais faisait mon possible pour me calmer et reprendre une respiration normale. Je me saisis du verre d'eau posé sur ma table basse et avalait le liquide à une vitesse ahurissante. Après quelques minutes, je passais la main dans mes cheveux et prenait une grande inspiration. Je retrouvais enfin mes esprits. Ce n'était qu'un rêve, pas la réalité. Cette constatation me soulageait mais me donnait aussi froid dans le dos. Je n'en pouvais plus de ces cauchemars qui m'empêchaient de trouver un sommeil paisible, de ces hallucinations qui semblait pourtant si réelles mais me donnaient l'impression de perdre la raison. Il m'arrivait même parfois d'avoir des hallucinations de ce genre alors que j'étais parfaitement éveillée. Si cela continuait, mon entourage ne tarderait pas à me prendre pour une folle et voudrait m'enfermer à l'asile psychiatrique le plus proche. Je ne pourrais pas leur en vouloir, moi-même je doutais de ma santé mentale en ce moment.Ces hallucinations avaient commencées il y a plus de deux mois à présent. Depuis son décès, depuis qu'il était sorti de ma vie. Et elles n'avaient jamais cessées depuis. En surface, tout allait bien pour moi. Je venais de trouver un nouveau travail, en tant que professeur au sein d'une université, j'avais emménager depuis peu dans un nouvel appartement spacieux ... La vie continuait et marchait plutôt bien pour moi. Cependant, malgré tous mes efforts, il était évident que je ne parvenais pas à faire mon deuil. Y parviendrais-je un jour ? Je n'en avais aucune idée. Petit Plus ~¥ Code du règlement : Spoiler:Code validé¥ Pourquoi tu t'es inscrite ? : J'ai toujours voulu être sur un forum d'écriture sans vraiment en chercher un mais quand j'ai vu la demande sur Bazzart, j'ai sauté sur l'occasion en me disant que ca pourrait être cool de faire partie d'une communauté avec la même passion que moi. Et puis aussi, j'espérais m'améliorer un peu en écriture. ¥ Que penses-tu du forum ? : Qu'il est vraiment beau et bien organisé et que je sens que je vais m'y plaire. Je trouve juste qu'il manque un peu de smileys mais c'est pas bien grave. ¥ Que penses-tu de l'écriture ? : Comme tout le monde ici j'imagine, j'adore l'écriture. C'est un moyen de s'évader, de se détendre.¥ Un mot pour la fin : Vous trouvez pas qu'elle est juste magnifique Kate Walsh ? En plus, elle est rousse donc elle déchire forcément.
C'est l'une de mes présentations sur un forum RPG, j'espère que ca conviendra. J'ai pas vraiment d'écrits que je conserve sur mon ordinateur parce que je finis toujours par les supprimer. Spoiler:« Tu sais que parfois, j'oublie des choses à ton sujet ? Comme ton parfum ou bien même le son de ta voix ? Ça me rend folle, je ne supporte pas l'idée que tu ne sois plus à mes côtés. Je refuses de te laisser partir ... »D'un geste doux, il pose alors un doigt sur mes lèvres pour me faire taire. Il passe l'une de ses mains dans mes cheveux tout doucement et m'embrasse le front toujours aussi délicatement. Un fin sourire se dessine sur mes lèvres. C'est fou comme tout est beaucoup plus simple à ses côtés, comme il me fait oublier si facilement le moindre de mes soucis. Je ne peux pas vivre sans lui, c'est une évidence. La vie sans lui près de moi n'a plus aucun sens. Il ne peut pas partir, il est tellement jeune et plein de vie. Et puis, dans moins d'une semaine, on va se marier. Et on vivra ensembles, très heureux et pour le restant de nos jours. Je me sens si bien avec lui. Son heure n'est pas encore venue.Pourtant, je sais pertinemment que ce n'est pas comme cela que les choses vont se dérouler. Je sais qu'on ne vivra pas heureux pour toujours et qu'on ne se mariera jamais. Une vague de tristesse m'envahit à cette idée, je refuse de l'accepter. Nous sommes faits l'un pour l'autre. C'est injuste ! Pourquoi faut-il qu'il se fasse faucher par une voiture qui roule bien au-delà de la vitesse autorisée ? Pourquoi faut-il qu'il perde la vie sur le chemin de l'hôpital ?"Toutes mes condoléances ma chère Willow, je suis vraiment désolée. Perdre la vie si jeune ... c'est d'un tragique !" Je refuses d'entendre ces mots alors qu'ils sont en train de le placer six pieds sous terre, dans sa nouvelle demeure. Je refuse de pleurer toutes les larmes de mon corps jusqu'à l'épuisement, de finir avec les yeux rougis et un fichu mal de crâne. Je refuse d'avoir à traverser cette épreuve, c'est trop dur. Et pourtant, je sais déjà que je ne pourrais pas y échapper et que bientôt, je devrais retourner à la réalité. Une réalité où il n'existe plus, où il n'y a plus personne pour me rassurer lors des mes terreurs nocturnes.Je secoue vivement la tête en signe de refus, il continue d'afficher un sourire paisible sur son visage. Lui aussi, il sait ce qu'il va arriver et pourtant il reste parfaitement serein. Comme si il s'était fait à cette idée, comme si il l'avait acceptée. Je profite des derniers instants que je passe à ses côtés. Je le prends dans mes bras, je l'embrasse et finalement, le laisse s'en aller. Très vite, je sens que la réalité ne va pas tarder à me rattraper. Je sens qu'on est sur le point de m'arracher à mon petit coin de paradis personnel, contre mon gré. Je ferme les yeux, contrainte de l'abandonner une nouvelle fois. Et dans un violent sursaut, je retourne à la réalité.Des gouttes de sueur perlaient sur mon front, mon cœur battait à une vitesse incontrôlable et une sensation de panique m'envahit toute entière. J'arrivais à peine à respirer mais faisait mon possible pour me calmer et reprendre une respiration normale. Je me saisis du verre d'eau posé sur ma table basse et avalait le liquide à une vitesse ahurissante. Après quelques minutes, je passais la main dans mes cheveux et prenait une grande inspiration. Je retrouvais enfin mes esprits. Ce n'était qu'un rêve, pas la réalité. Cette constatation me soulageait mais me donnait aussi froid dans le dos. Je n'en pouvais plus de ces cauchemars qui m'empêchaient de trouver un sommeil paisible, de ces hallucinations qui semblait pourtant si réelles mais me donnaient l'impression de perdre la raison. Il m'arrivait même parfois d'avoir des hallucinations de ce genre alors que j'étais parfaitement éveillée. Si cela continuait, mon entourage ne tarderait pas à me prendre pour une folle et voudrait m'enfermer à l'asile psychiatrique le plus proche. Je ne pourrais pas leur en vouloir, moi-même je doutais de ma santé mentale en ce moment.Ces hallucinations avaient commencées il y a plus de deux mois à présent. Depuis son décès, depuis qu'il était sorti de ma vie. Et elles n'avaient jamais cessées depuis. En surface, tout allait bien pour moi. Je venais de trouver un nouveau travail, en tant que professeur au sein d'une université, j'avais emménager depuis peu dans un nouvel appartement spacieux ... La vie continuait et marchait plutôt bien pour moi. Cependant, malgré tous mes efforts, il était évident que je ne parvenais pas à faire mon deuil. Y parviendrais-je un jour ? Je n'en avais aucune idée.