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 Nouvelles AJ

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AJ

AJ

Messages : 53
Date d'inscription : 28/02/2011

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MessageSujet: Nouvelles AJ   Nouvelles AJ EmptyDim 10 Avr - 21:16

Mes Nouvelles

Voici donc mes nouvelles, beaucoup sont écrites sur papier, et ça me prend beaucoup de temps de tout recopier sur l'ordinateur. Je voudrai m'améliorer et j'accepte donc tous les commentaires ( positif/négatif) sauf s'ils sont vulguères et les commentaires non expliqués ( j'aime pas. ou c'est bien). Voilà j'espère que vous prendrez plaisir à les lire ^^


Dernière édition par AJ le Dim 10 Avr - 22:02, édité 2 fois
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AJ

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Messages : 53
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MessageSujet: Re: Nouvelles AJ   Nouvelles AJ EmptySam 7 Mai - 12:39

Injustice.



Elle fouille ses tiroirs, lance tout objet n'étant pas ce qu'elle cherche, sa chambre n'est plus que désordre, on ne pourrait la reconnaître.
Soudain, transpirant au point de devoir changer de débardeur, elle sort, d'une latte de plancher, un katana. Combien de temps l'avait-elle cherchée ? Son père lui avait offert à ses dix-huit ans, mais à la naissance de sa fille, elle l'avait cachée de peur que Mia ne tombe dessus. Enfin ! Elle l'avait. Il pourrait payer.
Elle se dirige vers la porte de son appartement, descend les escaliers d'une vitesse vertigineuse, mais elle ne peut se permettre de s'arrêter, ce qu'elle doit faire est trop important. C'est l'heure. Elle ouvre la porte du couloir, et se dirige dans la direction de la vengeance.....

Quelques mois plus tôt

<<- Allo ?
- Oui, bonjour, êtes-vous Mme Magion Clara ?
- Oui, c'est bien moi. Qui êtes-vous, que me voulez-vous ?
- C'est à propos de votre fille Mia.
- Qu'y a t-il ? Elle est malade ?
- Pas exactement.
- Et bien quoi alors ?
- Elle est...elle est...à l'hôpital de Dlav !
- Quoi ? Que lui est-il arrivé ? Est-ce qu'elle va bien ? Monsieur !
- Eh bien, on ne peut rien dire pour le moment mais...
- Je viens desuite ! >>.

Clara prit le métro et courut jusqu'à l'hôpital. Quand elle arriva à l'hôpital, elle se précipita à l'accueil où on la rensigna sur l'endroit où était sa fille. Personne. Elle chercha sa fille un peu partout puis trouva un docteur qui put la renseigner. Mia était au bloc opératoire. Folle de ne pas pouvoir entrer, Clara se dit qu'il n'y avait plus qu'à attendre et s'assit. Elle n'arrivait pas à imaginer que sa fille était au bloc opératoire, la seule personne qui lui restait, celle avec qui elle avait passé les meilleurs moments de sa vie depuis quatre ans. Elle hésitait entre hurler de tristesse ou tout simplement rester calme en attendant des nouvelles. Elle choisit finalement la deuxième option, après tout elle ne savait toujours pas ce que sa fille avait, peut-être qu'elle s'était tout simplement cassée gravement la jambe, et qu'ils l'opéraient. Essayant de contrôler ses larmes, elle se concentra et repensa au meilleurs moments passés avec sa fille, après, elle demanderait ce qu'avait sa fille. Elle n'eut pas le temps de finir ses retours en arrière, ni de demander la cause de la présence de sa fille à l'hôpital car un médecin vint la sortir de sa léthargie :

<<-Hum...hum
- Oui ? dit Clara sortant de sa torpeur et retenant ses larmes qui ne demandaient qu'à couler à flot .
- Je suis désolé, mais on a rien pu faire.
- NON ! Mon bébé, mon enfant, ma fille, NON ne me l'enlevez pas !! hurla t-elle.>>

Sa résolution, de ne pas se laisser aller était partie aussi vite qu'elle était venue à l'annonce de la mort de sa fille. Pourquoi ne faudrait-il pas qu'elle pleure ? Sa fille était morte !!! Elle avait mal, mal au coeur, mal au ventre, elle n'arrivait plus à réfléchir, ni à comprendre ce qui lui arrivait. Ce petit être, si doux, si gentil, n'avait pas pu sortir de sa vie comme ça. Non ! Ce n'était pas possible, pas Mia ! En plus de cette énorme douleur qui lui envahissait tout le corps, Clara ressentait un énorme vide comme si, elle n'était qu'un fantôme érant sans son corps. Pleurant de tout son être tout en étant très immobile, elle finit par relever la tête, et soudain à la vue de cet homme, elle sortie de son instant de somnolence, il pleurait également sa fille, elle en était sur, il jetait des petits regards à travers la vitre du bloc. Elle se jeta presque sur lui pour voir si ce n'était pas l'homme qui l'avait abandonné quatre ans auparavant à l'annonce de sa grossesse. Quand elle vit le visage de l'inconnu, elle éprouva une grande déception mais aussi de l'étonnement. Pourquoi cet homme pleurait-t-il sa fille ? Clara finit par l'interpeler :

<<-Qui êtes-vous ?
- Euh..Je suis John Gog, et vous ?
- La maman de Mia....

L'homme se raidit puis Clara reprit :

<<- Pourquoi pleurez-vous ma fille ?
- Je...Je...c'est à cause de moi qu'elle est ici.
- Quoi ! hurla t-elle en s'avançant.
- Elle a courrue devant ma voiture, je n'ai pu l'éviter. dit-il en reculant
- Assassin, vous l'avez tué ! cria Carla, ce n'éétait plus de la tristesse, ni de la douleur, mais de la colère qu'elle ressentait en cet instant. Commment ces trois émotions avait-t-elle pu se suivre aussi vite, oubliant toujours celle qui précédait, dans la même journée ?
- C'était un accident ! tenta t-il en vain pour se défendre.>>

Les médecins et les infirmières présents attrapèrent la jeune femme pour l'empêcher d'étrangler Mr Gog. Doucement ils la firent entrer au bloc, où elle put serrer contre elle sa fille une dernière fois...

Une semaine plus tard.

Clara hésita à se lever, il fallait qu'elle mange, cela faisait une semaine qu'elle n'avait pas touché à la nourriture. Mais elle voulait se laisser mourir. On toqua à la porte. Puis, elle entendit des pas redescendre.
Clara n'éprouvait plus aucune douleur, mais de la tristesse et de la colère, elle ne ressentait que ça. Pourquoi lui avit-on enlevé sa fille ? Pourquoi ? Si sa fille n'était plus là pour partager ses journées avec elle, pourquoi vivre ?
Une heure après, une voisine, passant devant l'appartement de Clara vit un panier de victuailles et un bouquet de fleur. Cela faisait une semaine que l'accident de la petite fille ( qu'elle gardait d'ailleurs souvent) de sa voisine, Clara était décédée ( elle était d'ailleurs allée à son enterrement). Elle avait, les deux premiers jours essayé de reprendre Clara en main, mais celle-ci lui avait clairement fait comprendre qu'elle ne voulait pas de son aide. Mais ce panier.... Tampis, elle n'allait pas le laisser là. Elle sonna.
Clara, se réveillant de nouveau à cause du bruit de la sonnerie, ne dit pas un mot.
Personne ne répondit, Mme Godre, était membre du comité de sécurité de l'immeuble et avait toutes les clès de ses habitants. Elle repartie chez elle, puis une minute après, revînt avec un énorme trousseau de clé.
La jeune femme, entendit la personne repartir, elle s'apprêtait à se rendormir quand la porte s'ouvrit :

- Clara ? Je sais que tu ne veux pas de ma visite, mais il y avait ce panier sur ton perron alors...
- Je ne veux aucune visite, je te l'ai déjà dit ! Un panier tu dis ? Je n'en veux pas !
- Mais Clara !
- Va le jeter ! Je n'en veux pas ! se mettant soudainement très en colère.
- Tu m'insupportes, ce n'est pas parce que ta fille...n'est plus là que tu dois traiter tes semblables comme de vulgères objets ! Tu jeteras toi même ton panier ! >>

A cette dernière phrase la charmante voisine de Clara lança le panier qui se vide entièrement sur les beau tapis de la chambre de la jeune femme.
La porte claqua, Clara regarda son beaux tapis en soie taché de confiture, de miel et d'autres aliments qu'elle n'identifia pas. A quoi bon ? Elle allait mourir ! Elle se fichait éperdument de son tapis. Mais un bouquet de fleur et une lettre tâchée de vin attira son attention. Après minte réflexion, la curiosité l'emporta sur sa flemmardise et autres émotions contradictoire à l'envie de ce lever. Elle prit la lettre :

Madame,

Je ne sais comment me faire pardonner. Je sais que le mot désolé ne suffit pas. J'ai moi même perdu ma soeur, il y a un mois, elle avait six ans, je l'aimais comme un fou. Mes parents ont voulu se tuer, mais ils avaient encore un enfant à leur charge. Moi même j'étais tellement attristé que je n'ai repris mon travail qu'il y a une semaine. Mais ma famille et moi, nous avons fini par comprendre que ma soeur n'aurait jamais voulu qu'on ne profite pas de notre vie. En espérant que vous irez un peu mieux, que vous déciderez de vivre votre vie. Souvenez-vous, votre fille n'aurait jamis voulu ça.
John

Quand elle eut fini de lire la carte, elle comprit ce que voulait dire ce fameux John, elle devait vivre pour sa fille. Elle devait se reprendre en main et pardonner.

Deux jours plus tôt

Clara passait l'aspirateur quand elle entendit des cris à la fenêtre. La jeune femme habitait devant un parc de jeux, mais étant donné que c'était la période des vacances scolaires, peu de gens y venaient. Elle s'approcha : elle pensa à sa fille. Sa fille... Elle regarda dans la rue. C'était bien une petite fille qui était l'instigatrice des ces rires, elle riait avec un homme...Elle connaissait le visage de cet homme, elle l'avait déjà vu, c'était John. L'homme qui avait tué sa fille, mais à qui elle avait pardonné. Elle l'avait même croisé plusieurs fois dans la ville et où il lui avait expliqué la tragique mort de sa soeur. Mais qui était cet enfant ? Elle se pencha à la fenêtre, elle entendit John : " Non, tu le fais toute seule, tu es grande, tu as six ans ! ", puis ce fut au tour de la fillette de s'écrier " Tu es un méchant grand-frère". Clara ne chercha pas à savoir pourquoi il avait prononcé ces mots. Il lui avait menti, sa soeur était là, dans le parc, jouant avec lui. Elle sortit de sa poche la photo de sa fille et d'elle même qu'elle gardait toujours avec elle, pour se rappeller qu'elle vivait pour elle. Elle éprouva soudain une immense colère. Il lui avait menti, pour se protéger, il s'était payé sa tête, personne n'était mort. Comment avait t-elle pu lui faire confiance ? Maintenant, après plusieurs mois où elle avait pardonné, sa colère se réveillait et reprenait le dessus. Le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre.
*
* *
Elle arrive devant la porte de son immeuble. Elle sonne. La voix d'une femme lui répond :
<<- Oui ? Qui est-ce ?
- Une amie de John. S'il vous plaît, je voudrais lui faire la surprise de ma visite.
- Oh ! Je vous ouvre ! >>

John vivait encore chez ses parents. Elle s'élance dans les escaliers, elle court jusqu'au troisième étage. Elle sonne à la porte de la famille de John. Un homme à barbe lui ouvre.

<<-Bonjour, je suis le père de John. Il est dans la première chambre à gauche, il doit être avec sa soeur. Nous partons, j'emmène ma femme au restaurant.
- Bien, merci et bonne soirée ! dit-elle d'un ton très pressant.

Elle s'avance dans la maison, et croise la mère de John. Bien, il ne reste plus que lui, sa soeur et elle. Elle toque à la chambre.

<<-Oui, entrez ! dit une voix d'homme.>>

Clara avance.

<<- Madame Magion ?!
- Bonjour, je voulais vous parler.
- Oui, bien sur, je ne m'attendai pas à votre visite.
- Vos parents ne vous l'ont pas dit ? dit-elle l'air de rien.
- Non...Disons qu'ils ont sans doute cru que vous étiez...une amie . Euh, voulez-vous quelque chose à boire ?
- Un café, merci.>>

John sort de la chambre. Mais où était donc sa soeur ?
La petite fille revenant des toilettes, se dirige vers la chambre. Soudain elle vit une femme au regard de feu, elle semblait guettait l'arrivée de quelqu'un, elle ne la connaissait pas. Elle voulut crier à l'aide et appeler son frère. Mais la jeune femme ne lui en laissa pas le temps. Elle se jeta sur la petite fille, lui bouchant la bouche de sa main humide, et sortant un katana de son sac, elle lui transperça le coeur de sang-froid. La fillette s'écroula sur le sol, répendant un liquide rougeâtre sur le sol. Clara murmure un désolée à peine audible. La jeune femme se relève et se dépêche de poser une lettre sur le lit, prend son katana recouvert de sang, ferme les yeux. Une douleur insupportable (cependant beaucoup moins que celle qui l'avait envahie à l'annonce de la mort de sa fille) se répend dans son corps, une énorme tâche de sang imbibe sa veste, elle tombe au côté du corps de la petite fille. Peu à peu la moquette se teinte de bordeaux.
John arrive en courant alarmé par un énorme poids s'écroulant sur le sol. Il voit les deux corps étendus sur le sol, il se met à pleurer, pleurer une nouvelle fois, lui aussi une douleur l'envahie, pas celle de la souffrance due à une blessure physqiue, mais celle de la perte d'un être cher. Son regard est finalement attiré par un message posé sur le lit de sa défunte soeur. La dernière phrase étant " Le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre", il comprend et s'effondre, la mère de Mia ne voulaitt pas le tuer, mais le faire souffrir comme elle, avait souffert. Il réussi à se hisser jusqu'à la commode pour prendre une photo de famille. Il hurla un "pourquoi ! " puis retire le katana du corps de la femme, le tenant dans ses mains, il ne sut quoi faire, il finit par ,à son tour, se le planter dans les poumons. Il s'effondre, laissant échapper de ses mains la photo, où le verre du cadre se brise en atteignant le sol. Sur la photo se trouvait son père, sa mère lui même et les deux jumelles. Trois personnes mortes, pour rien ! Pourquoi une telle injustice ? Le feu n'est jamais loin, il dort toujours sous les cendres....
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